
Des communautés
de Destin
pour lier projet de vie et projet de Société
Permettre à chaque jeune
de réaliser son projet de vie
au service du bien commun
Le programme 100% Transition est mené depuis 2020 auprès de plus de 300 jeunes dit « NEET » (ni en études, ni en formation ni en emploi) par un consortium regroupant des organismes de formation, une organisation de l’éducation populaire et une agence coopérative en innovation sociale. Ce programme expérimental, soutenu dans le cadre du Plan d’Investissement dans les Compétences (PIC) promu par le Ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, souligne la nécessité de positionner la jeunesse comme une actrice indispensable de la transition écologique et sociale de notre pays.
100% Transition
Une brique d'un modèle à inventer
L’expérience 100% Transition a permis de confirmer une hypothèse dès la première année d'expérimentation : notre accompagnement auprès de jeunes, visant à révéler leurs compétences (connaissances, savoirs-faires, savoirs-êtres) et à les mettre au service de la « redirection écologique et sociale » ne pouvait porter pleinement ses fruits dans une Société encore trop rigide.
Les compétences transversales, objectivées ou à objectiver, comme levier du pouvoir d’agir pour mener la transition écologique et sociale et amener à de nouveaux métiers (ou de nouvelles manières d’exercer les métiers traditionnels) est voué à se heurter à l'absence de visions et d'actions qui restent à inventer dans une grande partie des sphères économiques et sociales.
Partager les constats d'urgence à agir
Toutefois, tous les acteurs ne partagent probablement pas les diverses urgences qui nous poussent à l’action :
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La crise environnementale, qui ne pourra se résoudre par l’innovation technologique seule.
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La crise sociale, qui appelle à une refonte des manières de créer et mesurer la valeur (et au-delà des critères économiques).
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La crise démocratique, qui oblige à la coopération d’acteurs publics et privés vers l’intérêt général.
100% Transition devra ouvrir la confrontation sur les thématiques liées à l’éducation, l’orientation, la formation, et plus largement à la notion de contribution sociale et écologique. Il est ainsi important de se demander comment notre approche doit être testée à l’épreuve du partage : sur quels points ? Auprès de quels acteurs ? Comment ?
Changer de paradigme et repenser
la création de valeurs
100% Transition nous met au défi d'interroger notre modèle de société. Nos indicateurs de création de valeur, encore trop liés à la seule création de valeur économique, ne permettent pas d’apprécier des éléments pourtant essentiels : la confiance, la solidarité, la coopération et la résilience sont sans doute les piliers d’un modèle de sobriété systémique et durable. Non seulement le référentiel actuel est en dissonance avec les impératifs écologiques et sociaux mais il ne répond plus aux aspirations des jeunes en recherche de sens et artisans majeurs de la transformation qui se joue.
Un nouveau paradigme autour de la création de valeur serait d’appréhender celle-ci en lien avec des actions dirigées vers le bien commun. Celui-ci n’est envisageable qu’en activant d’autres leviers à expérimenter sur autant de champs qui peuvent amener les jeunes générations à construire une Société répondant à un nouveau contrat social et écologique : de l’enfance à la vieillesse en passant par les questions liées à l’éducation, l’orientation, la formation, l’entreprenariat, l’emploi, les revenus ou la citoyenneté. Différents acteurs devront être mobilisés pour travailler et construire ces valeurs selon un socle ni moral ni religieux mais bien sociologique afin d'imaginer comment faire société.
Reste alors à se donner les moyens d’acquérir les compétences pour s’adapter à une situation qui ne nous permet plus d’appréhender le monde de la même manière.

Changer de paradigme et repenser
les compétences utiles
Nous proposons de s’inspirer du champ des compétences transversales, dites ailleurs « psycho-sociales » ou du « 21e siècle ». C’est peut-être cette dernière formulation qui traduit le mieux les raisons pour lesquelles nous positionnons ces compétences comme levier de création de valeur à même de relever les défis écologiques et sociaux : elles sont nécessaires à l’aune de l’intégration inéluctable, aujourd’hui et demain, des questions de climat et de biodiversité, et avec elles, celles de démocratie, d’inégalités sociales, de migrations, etc.
En s'inscrivant dans la redirection écologique et sociale, ces compétences du 21e siècle doivent être abordées comme une capacité à agir en commun, donc, d'une montée en compétences de collectifs. Cela nécessite d'arbitrer sur les activités et compétences qui ont du sens et celles qui n'en ont plus. Comment devenir résilients collectivement ? Si nous sommes convaincus de ces urgences et de leur systémie, il nous reste à faire communauté(s) pour déterminer où atterrir ensemble.
LES COMPÉTENCES DU 21E SIÈCLE
Les compétences transversales désignent des savoirs, savoir-faire ou savoir-être, applicables à une diversité de métiers et d'activités. Elles peuvent faire référence à des pratiques (savoir lire, pratique d'une langue, maîtrise de outils numériques, ...) mais surtout à un socle de compétences d'analyses, relationnelles et émotionnelles.

Source : Social and emotional skills and to teach them (World Economic Forum, 2016
www.weforum.org/agenda/2016/03/21st-century-skills-future-jobs-students/
Qu'est-ce qu'un projet de vie ?
Nous entendons par projet de vie le sens donné par chacun à sa vie. C’est ce sens qui rend intelligibles les diverses actions menées, souvent de manière inconsciente, en sa direction. Nous pouvons citer par exemple le mouvement de « désertion » porté par les étudiants d’Agro Paris Tech. Si cette action n’est pas un projet de vie en soi, nous voyons que ces étudiants ont décidé de se détourner d’un système promu par la valeur symbolique conférée par la CSP d’ingénieur, par la valeur socioéconomique liée au revenu de ce poste ou encore par la valeur culturelle de la contribution au champ de l’agriculture, poste nourricier. On peut considérer que renoncer à ce parcours, parce qu’il transmet des apprentissages nuisibles, pour l’humanité est bien un acte au service d’un lien entre projets de vie et projet de Société. Or, puisque ces projets de vie s’imbriquent dans un paradigme à créer (puisqu’ils restent des projets de vie sans perspectives collectives) le risque est de laisser place aux affrontements idéologiques plus qu’au traitement des controverses, sans inclure par exemple, des agriculteurs perplexes face à leur modèle et aux possibilités d’en sortir. 100 % Transition est fertile d'exemples de remise en cause des critères d'une "vie réussie", voire de chemins menés vers la contribution écologique et sociale.
S'il est difficile de donner une matière définitionnelle au projet de vie, nous pouvons dire qu'il ne renvoie pas seulement à ce que l'on veut faire de sa vie, dans son travail ou auprès de son entourage, mais il renvoie à quelque chose de plus profond. Mis en corrélation avec un projet de Société, il renvoie à ce qui compte et à ce qui vaut la peine collectivement.
Il n’est pas neutre que notre proposition ait émergé d’un accompagnement visant des jeunes. La jeunesse est une période charnière au regard des défis environnementaux et sociétaux (première ligne des effets du changement climatique, du chômage, de la crise démocratique, etc.) et des effets qui en découlent (nouvelles craintes et aspirations). Selon une étude menée par la Fondation Jean Jaurès en 2022, ce sont ceux qui ont le plus intégré ces défis à leurs projets de vie : en France, 37 % des 16-25 ans, qui se disent éco-anxieux, hésitent à avoir des enfants face à la perspective du changement climatique. D’autres aspirent à faire des enfants dans la perspective d’en faire de futurs militants de la cause écologique.
Il revient à la Société de leur permettre une contribution effective par la mise en systémie des actions. Comment ainsi permettre aux jeunes de devenir adultes dans un contexte aussi incertain pour eux que pour ceux censés les guider ? C’est donc au regard de l’urgence des crises sociales et écologiques, mais également en raison d’un sentiment de désillusion voire de mépris vis-à-vis de ce qui crée la valeur dans nos sociétés qu’il nous paraît nécessaire de permettre de nouvelles générations de projets. Dès lors, il ne s’agit plus seulement de les accompagner dans une perspective de réponse aux besoins, qui sont en fait lus comme des problèmes ou des freins (emploi, logement, transport, culture, santé, etc), mais selon leurs aspirations et leurs potentielles contributions.
Expérimenter pour concilier
projet de vie et projet de société
Au sein de 100% Transition, la stratégie globale d’une action commune est guidée par la réponse à une question centrale : « Comment concilier projet de vie et projet d’une Société contributive ? » Au cours du programme, nous avons décliné cette question dans diverses catégories - sans doute à modifier et à améliorer - qui proposent les champs sur lesquels mener des expérimentations en commun.
Quatre hypothèses sont à l’origine de notre vision
H1 - situation actuelle
Aujourd'hui, les cadres d’action et de reconnaissance dans lesquels les individus sont positionnés ne permettent pas de concilier le projet de vie dans toutes ses dimensions et la contribution à la Société.
H2 - principe
L’articulation "projet de vie et Société" va permettre de révéler l’individu dans ses spécificités et contribuer au développement du projet de Société de manière générale.
H3 - écosystème
Le travail sur l’articulation du projet de vie et de Société ne pourra pas être conduit sans un travail concomitant à la fois sur l’individu et sur l’écosystème dans lequel il évolue.
H4 - méthode
La co-construction d’un référentiel sur la création de valeurs par différentes parties prenantes concernées par ces enjeux à différentes phases de la vie d’un individu permettra de s’accorder sur « ce qui fait sens », ce qui compte collectivement.

Former des communautés
de destin pour ouvrir la voie
Notre action commune vise à expérimenter les compétences du 21ème siècle. Nous parlons d’expérimentation car dans les espaces et les temps où les solutions sont inconnues mais les horizons définis (ici, construire un nouveau référentiel de création de valeurs), il nous faut agir pour apprendre et apprendre pour agir. Nous proposons de cheminer selon une démarche de recherche et développement sociale, incarnées au sein de communautés de destin.
Une coopération d'acteurs stratégiques
Puisque les enjeux sociétaux impliquent une diversité d’acteurs et une multitude de dimensions (culturelles, législatives, organisationnelles, etc.), une solution tournée vers l’intérêt général doit se construire par l’alliance de parties prenantes et innovateurs sociaux mettant en commun leurs connaissances, compétences et leviers d’action. En effet, la complexité des problématiques liées aux différents âges de la vie nécessite le croisement de regards experts pouvant être issus d’associations, d’entreprises, de syndicats, ou d’institutions publiques. Nous considérons la coopération de ces acteurs hétérogènes comme condition sine qua non de la transformation sociale.
Un cadre de fabrique de l'intérêt général
Cette coopération prend forme dans ce que nous appelons les "communautés de destin". Cette expression exprime l'idée de dépasser, sans les nier, et par la convergence autour d'une finalité d'intérêt général, les stratégies et fonctionnements particuliers des acteurs.
La coopération comme principe d'action
L'enjeu de ces communautés réside dans la co-construction et le partage d'une stratégie. La façon dont chaque acteur est focalisé sur son objectif et son outil de mesure peut entraîner une impasse dans la manière de poser un problème et empêcher la résolution de défis situés à un niveau plus systémique. La coopération vient se placer justement à ce niveau de résolution des problèmes, au-delà de la collaboration qui vise une division du travail et des tâches entre acteurs. Considérée en ces termes, la coopération n'est ni une valeur qu'il s'agirait de brandir (connotation positive), ni une perte d'énergie (ouverture à d'autres fonctionnements), mais un réel principe d'action à même de résoudre des problématiques complexes et systémiques dont la solution ne réside justement que dans une action collective large. Cette valeur ajoutée de la coopération est cependant confrontée à l'obstacle de la non-comptabilisation de certaines structures de ce temps passé à des actions collectives puisqu'il persiste l'idée du retour sur investissement instantané. Par ailleurs, les cadres institutionnels ne sont pas pensés pour coopérer avec différents acteurs.
Des communautés d'action
La finalité de la mise en communauté de ces acteurs est de parvenir, non pas à des recommandations, mais de s'appuyer sur les arènes de débat et de réflexion existantes afin d'engager une démarche de R&D sociale, soit, de rendre possible l'expérimentation de nouveaux modèles économiques, culturels, organisationnels, biens, services, etc. et de la mettre en œuvre.
Inscription dans une dynamique à l'échelle nationale
Les réflexions qui nous animent sont toutefois partagées dans un certain nombre de cercles. Le gouvernement se saisit de la question de la Jeunesse au travers d’une concertation du Conseil National de la Refondation, dont nous partageons les constats et perceptions qui en sont issues. Diverses institutions travaillent également sur ces enjeux.
L'ONISEP au travers de son programme Avenirs procède selon une vision innovante de l'orientation : "savoir devenir soi, pour soi, pour les autres, ensemble pour la planète".
"L'option Croix Rouge" accompagne les jeunesses à apprendre par l'expérience pour développer leurs compétences sociales et civiques au travers d'enjeux d'environnement, de solidarité et de citoyenneté.
Les écoles ÊTRE (école de la transition écologique) proposent des formations pour les jeunes de 16 à 25 ans aux "métiers de de(ux) main(s)".
Tous Dehors est une autre initiative rassemblant divers acteurs participant à mettre l'expérience de nature au coeur des enseignements.
Le collectif Grandes Écoles de la Transition rassemble des acteurs afin d'anticiper les évolutions métier à venir et de valoriser et financer les formations de la transition écologique et sociale.
Toutes ces initiatives, plus ou moins proches de la fibre de 100 % Transition, sont autant de pistes innovantes de ce que pourrait être un modèle de Société contributive. La nôtre est de tenter de les traduire dans une société qui permette à la solidarité et la contribution d’être piliers dans la création de la valeur : il s’agit de considérer la régénération comme matrice de création de valeurs et de sens.
Notre contribution : participer à la mise en communautés
Si nous souhaitons contribuer à l’invention d’un nouveau paradigme, considérant les urgences à partager, les freins à l’action à lever et le besoin de créer de nouvelles connaissances, nous voulons permettre la création d’alliances et apporter notre expertise en recherche & développement sociale. Une telle ambition ne peut être réalisée qu’en anticipant les besoins d’enrichissement et de recul apportés par l’ingénierie de la mise en communauté. Les divers acteurs mis à contribution pour créer ce nouveau référentiel de création de valeurs, de compétences, de savoir-faire et savoir-être doivent être au service d’une stratégie globale : l’émergence d’une Société de la contribution. Nous considérons que réside dans l’hétérogénéité des acteurs et des leviers de la coopération le moyen de faire pivot au service de l’intérêt général.
Une alliance de communautés de destin
Une stratégie d'ensemblier
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Des sous-alliances capables de pousser les sujets : divers pilotes expérimentaux (terrains d’action) où chacun amène sa compétence
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Une « gouvernance cœur » garante de la logique de l’alliance globale avec une légèreté de la gouvernance dont le rôle est bien d’accompagner l’émergence et le suivi de communautés de destin
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Une méthodologie de R&D afin de créer et suivre les pilotes expérimentaux et enrichir de manière itérative le nouveau référentiel de valeurs et les différentes communautés de destin entre elles
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Un modèle économique pour financer les temps de R&D et d’animation
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La formalisation des capacités d’appui à la mise en mouvement, à la coopération, à la R&D sociale
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Différentes pistes à explorer
Différents modèles de financements et de structuration pour les différents CD. Des pistes pour se structurer à explorer :
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Droit à l’expérimentation
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Start-up d’Etat (cf. Diagoriente)
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Fonds I (Banque des Territoires)
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KA2 Erasmus + (partie formation/orientation)
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…
Les communautés de destin projetées sont celles dessinées dans les catégories évoquées précédemment et participant à un changement de paradigme lié à un nouveau référentiel de valeurs :

Focus sur l'école :
imaginer une communauté de destin
Afin d'illustrer ce que nous projetons à ce jour, nous choisissons de proposer sous forme d'une "fiche d'activation" ce à quoi pourrait ressembler une communauté de destin autour des problématiques éducatives participant à l'expérimentation et à l'enrichissement du nouveau référentiel de création de valeurs.
Expérimenter des manières de développer les compétences et connaissances nécessaires à la société du 21ème siècle, en particulier les compétences psycho-sociales, cela passe notamment par l'amélioration de la reconnaissance des savoirs issus de l'expérience acquis au sein de l'école comme en dehors. D'une durée de cinq ans, cette expérimentation concernera des cohortes de vingt à vingt-cinq élèves par établissement scolaire sur quatre territoires environ.
Les objectifs
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Concevoir et expérimenter des parcours éducatifs de territoire contribuant au développement des compétences nécessaires à la société du XXIième siècle.
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Penser des parcours d'apprentissage multiformes développant les compétences psycho-sociales nécessaires à la société de demain, en associant l'acquisition du savoir académique au développement de savoirs expérientiels
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Expérimenter de nouveaux modes d'objectivation, de reconnaissance et de valorisation des compétences et savoirs issus de l'expérience
Les leviers
Allier différentes pédagogies en ouvrant les établissements à des acteurs extra-scolaires (de l'éducation populaire, de la formation, etc.)
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Créer des cadres de coopération entre établissements scolaires, acteurs extra-scolaires d'accompagnement des jeunes et acteurs de l'innovation sociale
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Impliquer l'ensemble des acteurs de l'éducation (des familles au rectorat)
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S'appuyer sur les savoirs-faires et expertise de la diversité des acteurs
La méthode
Notre démarche s'inscrit dans une méthodologie de Recherche et de Développement sociale dont les fins sont de définir :
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certaines caractéristiques de ces parcours
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la méthodologie favorable à leur élaboration, à leur mise en œuvre et au décuplement de leurs effets.
L'expérimentation
Plusieurs expérimentations de parcours seront menées (environ 4/5), chacune portée par un collectif d’acteurs réuni autour d’un établissement scolaire. Co-construites avec chaque collectif, elles seront différentes quoique cohérentes, et s’adosseront toutes à la même méthodologie de R&D. La démarche réunira un consortium d’acteurs hétérogènes (listés ci-dessous) chargé de concevoir la démarche, la mettre en œuvre et l’évaluer. Ces acteurs co-construiront et expérimenteront ensemble des parcours éducatifs de territoire au sein de cadres de coopération qui restent à définir et qui constituent des objets de recherche à part entière. Les consortiums d’acteurs réuniront :
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L’Éducation Nationale (rectorat, établissements scolaires…)
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Les acteurs extra-scolaires, de l’éducation et de l’accompagnement des jeunes (organismes de formation, associations d’éducation populaire, associations sportives et culturelles…)
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Les acteurs de la recherche et de l’innovation sociale (laboratoire de recherche, agence d’innovation sociale Ellyx, consortium 100% Transition).
Et après La Fabrik à Déclik ?
Invitation à poursuivre la conversation
Si le programme 100% Transition touche à sa fin en août 2023, l'ouverture est le mot clé de nos intentions futures.
Une ouverture à d'autres champs et à d'autres acteurs qui nécessite de prendre le temps du dialogue.
Afin de poursuivre les échanges et de faire rencontrer les acteurs intéressés par notre démarche, nous proposons des temps et des espaces souples à la suite de la Fabrik à Déclik.
Si nous avons plusieurs hypothèses d'action collective, nous avons conscience des conditions nécessaires à la coopération, pas toujours faciles à réunir. Il s'agira ainsi de mettre au défi nos visions, de partager un horizon et d'envisager les pistes de coopération servant une Société de la contribution écologique et sociale.
Nous vous donnons rendez-vous courant septembre afin de poursuivre les échanges à l'occasion d'un webinaire.